En Afrique il y’a une
Compétition entre la Compétence et le matériel (l’Argent) : Le
Développement Certain de l’Afrique ne sera possible que si la Compétence le
remporte face au matériel.
Les gens ont l’habitude de dire que « si tu as l’argent tu peux avoir tous
ce que tu veux ». Cette phrase peut être vue comme une façon de
rendre la corruption légale (normale). En se basant sur la même phrase nous nous
rendrons compte que dans les relations sociales on regarde l’argent avant de
regarder le comportement. Le matériel peut être une simple cause de désunion,
des bagarres ou pire de guerres civiles. Dans le monde professionnel aussi nous
allons voir qu’il est difficile de voir un fils de riche sans boulot (dans la
fonction publique). Plus tu es riche plus tu avances dans ta carrière professionnelle. En ce qui concerne le leadership
aussi nous pouvons voir qu’il est très difficile qu’un homme compétent (mais
pauvre) parvienne à devenir Président, Ministre ou Directeur Général. En Afrique
cette phrase est très populaire car elle a été influente dans la corruption,
les relations sociales et professionnelles et le leadership. Donc dans cet
article nous allons analyser la relation qui existe entre la compétence et le
matériel dans le continent africain.
Avant de commencer j’aimerai préciser que le plus grand problème de l’Afrique c’est le leadership. Partant de là, nous pouvons relier la corruption à la mal gouvernance. Plus un pays est mal dirigé, plus il devient corruptible. Transparency International, organisation non gouvernementale, établit chaque année un indice de perception de la corruption au sein des partis politiques, de la police, du système judiciaire et des services publics dans tous les pays, un fléau qui sape le développement et le combat contre la pauvreté. Selon l’un des chercheur de cette organisation, la corruption affecte le plus les pauvres. Parmi les pays les plus corrompus qui figurent sur la liste publiée par cette organisation, nous pouvons trouver les pays Asiatique et Africains (comme Somalie, Soudan, Libye et Guinée Bissau). A cause de la corruption les compétents Africains n’arrivent pas à être choisis pour bâtir leurs pays ; à cause de la corruption le riche reste riche et le pauvre reste aussi pauvre ; avec la corruption la justice devient commercialisable ; avec la corruption l’Etat (la loi) devient impuissante. Donc nous pouvons dire qu’ici le matériel l’a remporté contre la compétence.
Dans les relations sociales nous pouvons voir que plus tu es riche, plus tu mérites du respect. Alors que les mœurs africains ont dit que « Ne juge pas une personne à cause de ce qu’il a, mais pour ce qu’il est ». En Afrique on peut clairement voir que la plupart des filles veulent se marier avec un homme juste à cause de sa richesse, pas à cause de son comportement. Et la plupart des familles veulent que leurs filles se marient avec des richards (et en plus étranger). A part les frontières que les impérialistes ont tracés sur les territoires du continent Africains et les notions ethniques et religieuses, un autre phénomène qui divise les Africains, c’est le matériel. A cause du matériel il y’a eu beaucoup des guerres dans le monde entier. Pendant que celle-ci (les guerres) deviennent une histoire comme dans les autres pays, elles deviennent populaires en Afrique, tout simplement parce qu’au lieu de nous concentrer sur l’Union, la production et le progrès, nous nous concentrons sur le partage du matériel (existant). Les Africains perdent leurs temps à partager le matériel existant, que de produire des nouvelles richesses. Les postes nécessaire pour faire développer les pays africains sont partagés entre les membres du parti politique qui ont permis à se parti de gagner les élections ou bien entre les personnes qui acceptent tout ce que le pouvoir (gouvernement) veut. Ce qui nous amène à dire que le matériel le remporte dans le cas des relations publiques.
Dans le monde professionnel aussi nous pouvons constater la même situation. Car il est très difficile de voir quelqu’un réussir dans sa carrière tant qu’il n’utilise pas le matériel (l’argent). Dans ce cas (professionnel), la compétition entre le matériel et la compétence est très influente sur l’économie, car si la compétence le remporte contre le matériel, la production sera abondante et de très bonne qualité ; au contraire il y’aura une sous-production. 70% des cadres africains ont été choisis soit à cause de leur statut social, soit à cause de leur matériel ou parce qu’ils ont quelque chose qui plait a leurs employeurs ; pas parce qu’ils sont compétents dans leurs domaines. Cette situation donne faveur au matérialisme et empêche le développement de notre société.
En ce qui concerne le leadership, le match entre la compétence et le matériel en Afrique, est trop suivi dans le monde entier. Car ce match est très spectaculaire et fournit des scènes très intéressantes aux spectateurs (Observateurs internationaux). Un leader qui a été soit disant élu par le peuple et voulant continuer à diriger, va tout faire pour gagner les élections. La méthode la plus utilisée par les politiciens africains pour venir au pouvoir est « l’achat du droit de vote du peuple ». Et à cause de tous ce que nous avons cités en haut, ce malheureux peuple vend ses voix à ces politiciens égoïstes qui n’ont aucune compétence. Les candidats compétents normalement n’auront plus besoin d’acheter les voix du peuple, car ils sont sûr de leur compétence. Mais il y’a là, une situation qui les empêche d’accéder au pouvoir qu’ils méritent, tout simplement parce que le riche a déjà ensorceler le peuple avec son matériel. Dans les autres pays du monde, ces pratiques (magouilles) sont impossibles, car les techniques utilisées pour les élections sont transparentes et justes. Les leaders africains sont connus pour leur soif du pouvoir. Ils veulent restés au pouvoir pour toujours, pour les raisons suivantes : ils ont peur que s’ils perdent le pouvoir, ils seront jugés (parce qu’ils reconnaissent avoir fait de n’importe quoi pendant leurs mandats), ils pensent que sans ce pouvoir, ils n’auront pas la facilité dans leurs vie et surtout parce qu’ils n’ont rien qui va leurs permettre de produire des richesses permanentes. En 2015, le Nigéria a fait un comportement qui est très diffèrent du comportement de la plupart des pays africains. Premièrement une opposition a battu le parti au pouvoir au premier tour ; deuxièmement, l’opposition accepte sa défaite et troisièmement le peuple Nigérian conscient de son choix, a refusé le matériel tout en protégeant son droit de vote. Cette situation a fait gagner du respect au Nigéria en particulier mais aussi au continent Africain en général.
En conclusion nous pouvons dire que le continent Africain qui a un potentiel du développement, a besoin de faire disparaître la corruption tout en instaurant la justice, l’égalité et la transparence dans tous les domaines. De 1960 à nos jours, il y’a eu d’une part un maigre nombre de personnes qui font tout pour développer leur pays et d’une autre part il y’a des gens (un grand nombre) qui essayent de partager ce qui reste du pillage des impérialistes dans les terres africaines. Au lieu de perdre notre temps à produire, nous perdons notre temps à consommer et détruire. Pendant toute cette période il y’a eu une compétition entre la compétence et le matériel. Une compétition dont le résultat affectera totalement l’économie du continent africain. Actuellement le matériel mène dans cette compétition. Et nous espérons tous ensembles aider la compétence à gagner cette compétition tout en refusant la corruption et le matérialisme social et professionnel. Car le développement de l’Afrique ne sera possible que si la compétence remporte la victoire.
Vive l’Afrique et les Africains !
Par, Moutari Abdou
Avant de commencer j’aimerai préciser que le plus grand problème de l’Afrique c’est le leadership. Partant de là, nous pouvons relier la corruption à la mal gouvernance. Plus un pays est mal dirigé, plus il devient corruptible. Transparency International, organisation non gouvernementale, établit chaque année un indice de perception de la corruption au sein des partis politiques, de la police, du système judiciaire et des services publics dans tous les pays, un fléau qui sape le développement et le combat contre la pauvreté. Selon l’un des chercheur de cette organisation, la corruption affecte le plus les pauvres. Parmi les pays les plus corrompus qui figurent sur la liste publiée par cette organisation, nous pouvons trouver les pays Asiatique et Africains (comme Somalie, Soudan, Libye et Guinée Bissau). A cause de la corruption les compétents Africains n’arrivent pas à être choisis pour bâtir leurs pays ; à cause de la corruption le riche reste riche et le pauvre reste aussi pauvre ; avec la corruption la justice devient commercialisable ; avec la corruption l’Etat (la loi) devient impuissante. Donc nous pouvons dire qu’ici le matériel l’a remporté contre la compétence.
Dans les relations sociales nous pouvons voir que plus tu es riche, plus tu mérites du respect. Alors que les mœurs africains ont dit que « Ne juge pas une personne à cause de ce qu’il a, mais pour ce qu’il est ». En Afrique on peut clairement voir que la plupart des filles veulent se marier avec un homme juste à cause de sa richesse, pas à cause de son comportement. Et la plupart des familles veulent que leurs filles se marient avec des richards (et en plus étranger). A part les frontières que les impérialistes ont tracés sur les territoires du continent Africains et les notions ethniques et religieuses, un autre phénomène qui divise les Africains, c’est le matériel. A cause du matériel il y’a eu beaucoup des guerres dans le monde entier. Pendant que celle-ci (les guerres) deviennent une histoire comme dans les autres pays, elles deviennent populaires en Afrique, tout simplement parce qu’au lieu de nous concentrer sur l’Union, la production et le progrès, nous nous concentrons sur le partage du matériel (existant). Les Africains perdent leurs temps à partager le matériel existant, que de produire des nouvelles richesses. Les postes nécessaire pour faire développer les pays africains sont partagés entre les membres du parti politique qui ont permis à se parti de gagner les élections ou bien entre les personnes qui acceptent tout ce que le pouvoir (gouvernement) veut. Ce qui nous amène à dire que le matériel le remporte dans le cas des relations publiques.
Dans le monde professionnel aussi nous pouvons constater la même situation. Car il est très difficile de voir quelqu’un réussir dans sa carrière tant qu’il n’utilise pas le matériel (l’argent). Dans ce cas (professionnel), la compétition entre le matériel et la compétence est très influente sur l’économie, car si la compétence le remporte contre le matériel, la production sera abondante et de très bonne qualité ; au contraire il y’aura une sous-production. 70% des cadres africains ont été choisis soit à cause de leur statut social, soit à cause de leur matériel ou parce qu’ils ont quelque chose qui plait a leurs employeurs ; pas parce qu’ils sont compétents dans leurs domaines. Cette situation donne faveur au matérialisme et empêche le développement de notre société.
En ce qui concerne le leadership, le match entre la compétence et le matériel en Afrique, est trop suivi dans le monde entier. Car ce match est très spectaculaire et fournit des scènes très intéressantes aux spectateurs (Observateurs internationaux). Un leader qui a été soit disant élu par le peuple et voulant continuer à diriger, va tout faire pour gagner les élections. La méthode la plus utilisée par les politiciens africains pour venir au pouvoir est « l’achat du droit de vote du peuple ». Et à cause de tous ce que nous avons cités en haut, ce malheureux peuple vend ses voix à ces politiciens égoïstes qui n’ont aucune compétence. Les candidats compétents normalement n’auront plus besoin d’acheter les voix du peuple, car ils sont sûr de leur compétence. Mais il y’a là, une situation qui les empêche d’accéder au pouvoir qu’ils méritent, tout simplement parce que le riche a déjà ensorceler le peuple avec son matériel. Dans les autres pays du monde, ces pratiques (magouilles) sont impossibles, car les techniques utilisées pour les élections sont transparentes et justes. Les leaders africains sont connus pour leur soif du pouvoir. Ils veulent restés au pouvoir pour toujours, pour les raisons suivantes : ils ont peur que s’ils perdent le pouvoir, ils seront jugés (parce qu’ils reconnaissent avoir fait de n’importe quoi pendant leurs mandats), ils pensent que sans ce pouvoir, ils n’auront pas la facilité dans leurs vie et surtout parce qu’ils n’ont rien qui va leurs permettre de produire des richesses permanentes. En 2015, le Nigéria a fait un comportement qui est très diffèrent du comportement de la plupart des pays africains. Premièrement une opposition a battu le parti au pouvoir au premier tour ; deuxièmement, l’opposition accepte sa défaite et troisièmement le peuple Nigérian conscient de son choix, a refusé le matériel tout en protégeant son droit de vote. Cette situation a fait gagner du respect au Nigéria en particulier mais aussi au continent Africain en général.
En conclusion nous pouvons dire que le continent Africain qui a un potentiel du développement, a besoin de faire disparaître la corruption tout en instaurant la justice, l’égalité et la transparence dans tous les domaines. De 1960 à nos jours, il y’a eu d’une part un maigre nombre de personnes qui font tout pour développer leur pays et d’une autre part il y’a des gens (un grand nombre) qui essayent de partager ce qui reste du pillage des impérialistes dans les terres africaines. Au lieu de perdre notre temps à produire, nous perdons notre temps à consommer et détruire. Pendant toute cette période il y’a eu une compétition entre la compétence et le matériel. Une compétition dont le résultat affectera totalement l’économie du continent africain. Actuellement le matériel mène dans cette compétition. Et nous espérons tous ensembles aider la compétence à gagner cette compétition tout en refusant la corruption et le matérialisme social et professionnel. Car le développement de l’Afrique ne sera possible que si la compétence remporte la victoire.
Vive l’Afrique et les Africains !
Par, Moutari Abdou